Orchestre symphonique de Drummondville

La mission artistique de l’OSD est de promouvoir la diffusion du répertoire symphonique traditionnel, de promouvoir les créateurs et interprètes canadiens et québécois, et d’élargir ses frontières quant aux styles musicaux et aux modes de diffusion. Pour connaître la programmation et les activités, veuillez consulter notre site Internet.

Déjà très jeune, mon amour du dessin et des couleurs était d’une évidence palpable. Le désir de tout mettre sur papier ce qui me fascinait est la naissance de mon aventure en tant qu’artiste autodidacte. J’ai principalement appris en admirant et en étudiant les œuvres des grands maitres exhibés dans les musées et les galeries. Étant attirée par la beauté des paysages, j’ai débuté en peignant les maisons de nos campagnes. Mon cheminement artistique m’a amenée à suivre des leçons à partir des livres de peintres américains mais surtout les leçons données à la télévision chaque semaine. J’ai alors décidé de peindre personnages et portraits. Première expérience, mon paternel. Vinrent ensuite les défis: le pelage du félin, la peau de l’éléphant, les ombres et la lumière… C’est avec beaucoup de patience, de détermination et un nombre incalculable d’heures que mon aventure est devenue ma passion. La peinture n’est pas qu’un passe-temps; c’est une façon de respirer, de vivre, et lorsque je peins, je vis.

Équipement majeur de la vie culturelle, la Maison des arts Desjardins Drummondville dispose d’une salle de spectacles pouvant accueillir près de 1 000 personnes. Intégrée à cette salle, une loge prestige offrant des services d’appoint est accessible à des locateurs. Fort dynamique, durant la saison estivale la Maison des arts fait place à la présentation du théâtre d’été. Offrant au public le plaisir d’assister à des spectacles mettant en vedette des artistes de renommée nationale et internationale, la Maison des arts Desjardins Drummondville constitue également un tremplin de premier plan aux artistes locaux. La Maison des arts jouit d’une excellente réputation dans le monde du spectacle, comme en fait foi le Félix de « Diffuseur de l’année » qui lui a été remis par l’ADISQ, il y a quelques années. Plus qu’un lieu de spectacles, elle est une véritable maison de la culture où se dessine et se crée la vie culturelle drummondvilloise.

En effet, sous un même toit, on retrouve plusieurs organismes culturels et éducatifs oeuvrant dans les domaines de la musique, du chant, de la danse et des arts de la scène. Ces organismes sont : l’Académie de ballet de Drummondville, l’École de théâtre Languedor, l’École de musique à la Portée des Sons, Mackinaw, Guilde des artistes de la région de Drummondville (GARD) et l’Orchestre symphonique de Drummondville (https://www.osd-concert.com). Sans oublier, Le Sismographe (corporationlesismographe@gmail.com), un organisme à but non lucratif voué à la diffusion de concerts émergents à Drummondville. Les objectifs de cet organisme est d’encourager le développement de la carrière des artistes émergents québécois (domaine musical), créer un esprit de communauté autour d’un projet ouvert à tous et toutes, à visée uniquement culturelle.

En fait, la Maison des arts Desjardins Drummondville demeure un organisme majeur de diffusion, tout en continuant son travail de développement social, économique et communautaire. Il est devenu, au fil des ans, la pierre angulaire du monde culturel drummondvillois.

Marie-Pier Hébert a déjà l’étoffe d’une grande chanteuse. Dame Blanche des Légendes Fantastiques, lauréate du concours Secondaire en spectacle à quatre reprises et demi-finaliste des Découvertes de la chanson de Magog, elle a même réussi, à l’âge de 15 ans seulement, à faire salle comble au Cabaret Box Office de Drummondville lors de son tout premier spectacle solo. En 2007, elle fait partie de la nouvelle distribution de A0, la fantastique légende et elle participe au Gala des affaires de la Chambre de commerce et d’industrie de Drummond. En 2008, elle est présidente d’honneur du concours Secondaire en spectacle du collège Saint-Bernard et elle présente son spectacle solo à la 8e édition de Drummondville en chanson et aux Jardins lumières de L’Avenir.

Le cheminement artistique de Marilyne Poirier a commencé dès son tout jeune âge : cours de danse, de flûte traversière, de piano et surtout de chant. C’est en 1997 qu’elle décide d’en faire une carrière en s’inscrivant au baccalauréat en enseignement de l’art dramatique à l’UQAM. Parallèlement à cette formation, elle continuait ses cours de chant. Le baccalauréat obtenu, elle décida de se perfectionner dans tous les arts qu’elle affectionnait. Elle choisit donc l’école professionnelle de théâtre du Collège Lionel-Groulx dans un programme particulier de théâtre musical. Cette formation permettait de travailler avec des professionnels de la danse, du théâtre et du chant. Elle participa à plusieurs productions telles que “La Célestine”, “Tombés du nid” et “L’Opéra de quat’sous”. Présentement, elle enseigne l’art dramatique à la Commission scolaire de Chênes de Drummondville et met en scène les spectacles étudiants tout en travaillant à ses propres projets.

À ce jour, Marylène occupe la majeure partie de son temps à la confection de vitraux sur mesure, autant pour l’architecture résidentielle que commerciale. Malgré d’inclassables recherches au point de vue des styles et des formes, une constante demeure: la présence de symétrie. Cette dernière sert d’assise et de point de départ. Ensuite, l’artiste laisse libre cours à son imagination et explore les possibilités qui sont offertes grâce à cette structure. Depuis peu, la pratique artistique de cette vitrailliste s’est enrichie par l’apprentissage d’un autre art millénaire: la mosaïque. Le verre étant un matériau noble, fascinant et surtout très précieux, pourquoi ne pas l’utiliser jusque dans ses plus petites retailles! Marylène réussit ainsi à créer des oeuvres surprenantes avec de toutes petites tesselles de verre. Le besoin de récupérer et d’assembler s’exprime à travers ses créations. On peut admirer ses mosaïques à travers des objets autant décoratifs qu’utilitaires.

Beaucoup de gens sont intéressés par l’étude de leur voix et la compréhension physique de celle-ci. L’étude du chant nous permet d’améliorer notre voix chantée et notre voix parlée. En plus, cela nous permet une connexion avec les sensations du corps et procure une détente autant physique que mentale. Il faut vouloir la travailler dans le plaisir et non avec acharnement. Le voix est l’expression de tout ce qui nous habite. J’enseigne le chant depuis plus de 10 ans et j’ai conçu un recueil de travail consacré à l’apprentissage et à la découverte du fonctionnement de la voix. J’ai obtenu un Baccalauréat de l’Université Laval et fait du perfectionnement à l’Université de Montréal. J’ai aussi participé à divers opéras et comédies musicales.

Natif de Sherbrooke, j’ai œuvré comme spécialiste dans l’enseignement des arts plastiques à la Commission scolaire des Chênes de Drummondville. Présentement mes œuvres semi-abstraites sont réalisées à partir de dessin intuitifs. Mon objectif est de présenter des images où la réalité est déformée ou transformée et parfois simplifiée. J’applique la peinture à l’huile à la spatule sur la toile pour obtenir des modulations et les couleurs vives attirent l’observateur qui a tout à découvrir. Depuis le début de siècle, j’ai exposé au Centre culturel de Drummondville ainsi qu’à la bibliothèque municipale. J’ai également participé à différents salon des métiers d’art.

Après l’obtention de son diplôme à Sainte-Thérèse, Micheline Brulotte fait ses débuts à la télévision avec un premier rôle dans la très populaire série québécoise « Watatatow ». Par la suite, ses talents athlétiques la mèneront directement au sein de la troupe de Dynamo Théâtre, avec laquelle elle fait une tournée à travers le monde. C’est entre deux voyages et deux bébés qu’elle fait diverses apparitions au cinéma. Voir suite CV : https://www.acteursassocies.com/michelinebrulotte Animatrice de radio, Mme Brulotte a fait le pont entre les générations avec l’émission « Génération-MIX » qui incitait les différentes parties à s’exprimer sur un sujet. Elle a complété sa formation en étant maître formatrice « Parent-guide, Parent-complice » de Commeunique.com, lui donnant l’opportunité de donner des formations aux parents désirant développer un mode d’emploi relationnel efficace avec leurs enfants. Micheline s’inspire par la suite de son expérience pour démarrer une entreprise qui offre différents services à caractère théâtral, musical et de discussion profonde avec, entre autres, l’aide du multimédia.

Le MNP est un lieu public de recherche et d’enseignement dédié à la préservation, l’étude, le rayonnement et la reconnaissance de l’histoire technique, esthétique et théorique de la photographie. Le MNP constitue un espace concret d’exposition, consacré à la photographie interprétée comme étant l’un des nombreux médiateurs, à sa façon propre et sous diverses modalités, que l’être humain a inventés et choisis pour établir certains rapports et relations de connaissance avec le monde environnant ainsi qu’avec son univers spécifique, à la fois social et individuel. Le MNP doit recueillir, restaurer, sauvegarder et documenter une collection d’appareils photographiques, d’images photographiques et d’artefacts divers reliés à l’histoire passée et actuelle de la photographie. Chercheurs, étudiants, journalistes, artistes et gens du public ont accès, sous diverses conditions, à nos collections.