Appel de candidatures pour le comité consultatif agricole (CCA)

Poste : Résidente ou résident de la MRC de Drummond

La municipalité régionale de comté de Drummond (MRC) lance un appel de candidatures afin de pourvoir le poste de résidente ou de résident au sein du comité consultatif agricole (CCA). Ce mandat est d’une durée de 2 ans (2023 et 2024) avec possibilité de renouvellement. Le CCA se rencontre habituellement jusqu’à six fois par année à 19 h 30 au 436, rue Lindsay à Drummondville.

Le CCA a pour fonction d’étudier, à la demande du Conseil de la MRC ou de sa propre initiative, toute question relative à l’aménagement du territoire agricole, à la pratique des activités agricoles et aux aspects environnementaux qui sont rattachés à cet aménagement ou à cette pratique. Cela comprend notamment l’analyse des règlements en matière d’aménagement et d’urbanisme ainsi que l’analyse des demandes d’autorisation, d’exclusion et d’inclusion en zone agricole. Le CCA a également pour fonction de faire au Conseil de la MRC les recommandations qu’il juge appropriées sur les questions qu’il a étudiées.

Si vous avez un intérêt pour l’aménagement du territoire, l’environnement, l’urbanisme, l’économie et les activités agricoles, nous vous invitons à soumettre votre candidature d’ici le mardi 10 janvier 2023, à l’attention de monsieur Jean-Sébastien Brouillard, en transmettant une lettre de motivation et un bref curriculum vitæ.

Par courriel : jsbrouillard@mrcdrummond.qc.ca

Par la poste ou en personne : 436, rue Lindsay, Drummondville (Québec) J2B 1G6

Veuillez noter que pour être admissible, vous ne devez pas être productrice ou producteur agricole, membre d’un conseil municipal, membre d’un comité consultatif d’urbanisme (CCU) ou faire partie du personnel municipal.

Si vous avez besoin d’informations supplémentaires, vous pouvez écrire au : jsbrouillard@mrcdrummond.qc.ca

Plus d’une trentaine de représentants d’organisations du milieu ont répondu à l’invitation de la MRC de Drummond en participant ce mardi 8 novembre à un exercice de réflexion stratégique concernant le devenir du parc régional.

« Le contexte pandémique a rendu plus difficile la concertation avec nos partenaires, mais nous regardons vers l’avant et nous souhaitons poursuivre le développement du parc régional en travaillant avec les organisations qui partagent notre volonté de mettre en valeur ses nombreux atouts. Consciente du potentiel de ce vaste territoire, la MRC souhaite en faire une destination de choix pour les amateurs de nature et de plein air, en s’alliant avec les forces vives du milieu », a affirmé la préfète suppléante de la MRC et présidente du comité du parc régional de la Forêt Drummond, Line Fréchette.

Sur la base d’un plan directeur adopté en 2021, la MRC a déjà consolidé les activités de randonnée offertes dans le parc, en plus d’amorcer la réalisation de certains projets, dont celui du développement d’un circuit de vélo de montagne de type cross-country.

Rappelons que la MRC de Drummond a procédé à l’acquisition, en juillet 2018, de quelque 20 kilomètres carrés de terres appartenant à Hydro-Québec, de part et d’autre de la rivière Saint-François, afin de créer le parc régional de la Forêt Drummond. Ce territoire est réparti dans trois municipalités, soit Drummondville (secteur des Érables argentés), Saint-Majorique-de-Grantham (secteur de l’île Jersey) et Saint-Bonaventure (secteur Bonaventure).

L’exercice de réflexion stratégique a été mené en collaboration avec la firme centricoise MCG, groupe-conseils.

Le comité du parc régional de la Forêt Drummond est présidé par Line Fréchette, préfète suppléante de la MRC et mairesse de Saint-Majorique-de-Grantham. Elle est ici accompagnée des deux autres membres du comité, soit Stéphanie Lacoste, préfète de la MRC et mairesse de Drummondville, et Guy Lavoie, maire de Saint-Bonaventure. Également sur la photo, Jean-Martin Lavoie, coordonnateur du parc régional, ainsi que Christine Labelle et John Husk, respectivement directrice générale et directeur de la planification et de la gestion du territoire à la MRC.

La MRC de Drummond profite de cette période de l’année où la nature revit pour rappeler aux propriétaires riverains, aux agriculteurs et à la population en général la nécessité de maintenir une bande de protection végétale aux abords d’un lac ou d’un cours d’eau.

Qu’est-ce qu’une bande riveraine?
La bande riveraine est une lisière végétale permanente qui longe les cours d’eau. Elle est généralement composée de plantes herbacées, d’arbustes et d’arbres. Cette bande de protection minimale est de 10 à 15 mètres à partir de la ligne des hautes eaux, selon la pente. En zone agricole, le sol peut être cultivé en conservant une bande minimale de trois mètres à partir des hautes eaux, dont au moins un mètre sur le replat de talus.

Dans cette zone de bande riveraine, toute intervention est interdite, incluant la tonte de gazon et la coupe de végétation.

Certains ouvrages ou activités sont toutefois permis et peuvent faire l’objet d’une autorisation. Il est donc important de s’informer auprès de sa municipalité avant d’entreprendre des travaux dans une bande riveraine.

Un exemple de bande riveraine conforme à la réglementation en milieu agricole.

Quels sont les bienfaits?
La préservation de la bande riveraine est essentielle puisqu’elle procure de nombreux bienfaits à la fois écologiques et économiques. En voici quelques exemples :

  • La réduction de l’érosion des sols et des berges;
  • La stabilisation du sol par les systèmes racinaires;
  • La diminution du ruissellement vers les cours d’eau, atténuant les débits de crue;
  • La filtration des polluants et des sédiments;
  • La préservation de la biodiversité;
  • La réduction de la fréquence des entretiens de cours d’eau.

Vous voulez en savoir davantage?
Plusieurs sites Web proposent de l’information et des conseils pratiques concernant l’aménagement et le maintien de bandes riveraines. Nous vous invitons à les consulter!

En cas de doute ou pour toute question sur la réglementation encadrant la bande riveraine, informez-vous auprès de votre municipalité locale.

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À sa dernière séance publique, le conseil de la MRC de Drummond a procédé à l’adoption de son projet de Plan régional des milieux humides, hydriques et naturels (PRMHHN).

Fruit d’un long travail d’analyse, de partage de connaissances et de concertation régionale, le PRMHHN s’inscrit dans la continuité des gestes posés par la MRC en matière de protection et de conservation, notamment avec la révision du schéma d’aménagement et de développement et l’adoption du règlement régional relatif au contrôle du déboisement.

« Alors que les impacts découlant des changements climatiques se font de plus en plus sentir, un outil de planification comme le PRMHHN prend toute son importance. Par les fonctions écologiques qu’ils remplissent, les milieux humides, hydriques et naturels, ici comme partout ailleurs, sont appelés à jouer un rôle essentiel dans la réduction des gaz à effet de serre, la diminution des risques d’inondation et le maintien de la biodiversité », affirme la préfète de la MRC de Drummond, Carole Côté.

Trois grands principes devaient être considérés dans le cadre de l’élaboration du PRMHHN, soit l’atteinte de l’objectif d’aucune perte nette, une gestion cohérente par bassin versant et la prise en compte des enjeux liés aux changements climatiques.

Les travaux ont permis de déterminer les grands enjeux propres à notre territoire en matière de conservation des milieux naturels et de développer une vision et des orientations pour s’attaquer à ces enjeux. Les orientations établies consistent à conserver 40 % du territoire en milieux humides, hydriques et naturels, à assurer une gouvernance cohérente et équitable de la conservation de ces milieux et à favoriser une gestion durable de l’aménagement du territoire et du développement urbain.

Le projet de PRMHHN comporte une stratégie de conservation avec diverses actions à mettre en œuvre sur une période de 10 ans. Pour ce faire, la MRC ajoutera sous peu à son équipe une nouvelle ressource spécialisée en environnement.

La démarche
Avec le soutien constant de l’équipe technique de la MRC, le Conseil régional de l’environnement du Centre-du-Québec (CRECQ), qui avait été mandaté pour coordonner l’élaboration du PRMHHN, a su mener la démarche avec efficacité et professionnalisme, comme il l’a également fait pour les MRC d’Arthabaska, de L’Érable et de Nicolet-Yamaska, avec lesquelles une étroite collaboration a été instaurée et maintenue tout au long du processus.

Même si la pandémie a engendré certains défis sur le plan logistique, l’exercice a mis à contribution de nombreux partenaires, dont les élus et les autres représentants du monde municipal, les organismes de bassins versants ainsi que plusieurs intervenants des secteurs agricole et forestier. La population en général a également été invitée à participer aux différentes étapes de consultation.

La suite
Le conseil de la MRC ayant adopté le projet de PRMHHN, celui-ci sera déposé au ministère de l’Environnement de la Lutte contre les changements climatiques pour approbation. Une fois cette étape franchie et les modifications apportées s’il y a lieu, la version finale du document pourra officiellement être adoptée et mise en vigueur.

Un résumé du projet de PRMHHN de la MRC de Drummond peut être consulté en ligne au www.mrcdrummond.qc.ca/prmhhn.

Au moment où les changements climatiques et la perte de biodiversité deviennent des enjeux de plus en plus préoccupants, la MRC de Drummond et ses 18 municipalités locales sont fières d’annoncer un investissement de 307 000 $ pour la protection des milieux naturels dans le parc régional de la Forêt Drummond.

Cette annonce est rendue possible grâce à l’adhésion de la MRC au Fonds des municipalités pour la biodiversité. Ainsi, pendant trois ans, la MRC s’engage à verser l’équivalent de 1 $ par ménage, soit plus de 51 000 $ par année, pour la restauration, la protection et la mise en valeur des milieux naturels dans le parc régional. Pour sa part, le Fonds doublera la somme disponible en investissant un montant identique. Il s’agit d’ailleurs de la contribution la plus élevée approuvée à ce jour au Québec en vertu de ce programme.

« Comme nous l’avons récemment annoncé, la MRC met en œuvre dès cette année son plan directeur pour le parc régional de la Forêt Drummond. Ce plan comprend bien sûr l’amélioration de l’offre d’activités de plein air, mais il comporte aussi un important volet de préservation des milieux naturels. L’investissement de 307 000 $ que nous dévoilons aujourd’hui viendra appuyer cette volonté clairement exprimée d’assurer la pérennité du parc afin que les générations futures aient le plaisir d’en profiter comme nous », affirme la préfète de la MRC, Carole Côté.

La vallée du ruisseau Noir, dans le parc régional de la Forêt Drummond.  

« Des actions de préservation de la faune et de la flore dans nos deux marais, des travaux de stabilisation de berges à des points d’observation présents le long de la Route verte ou la lutte à la propagation de certaines espèces exotiques envahissantes sont des exemples d’interventions qui peuvent être réalisées. Chose certaine, les projets seront nombreux et ils contribueront à protéger et à mettre en valeur des éléments distinctifs de la biodiversité du parc régional », précise Jean-Sébastien Laplante, gestionnaire de cours d’eau et biologiste à la MRC.

Le Fonds des municipalités pour la biodiversité est une initiative de la Société pour la nature et les parcs du Canada, section Québec, réalisée en partenariat avec la Fondation de la faune du Québec. Appuyé par le ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, le Fonds vise notamment la protection des espaces naturels dans les milieux urbanisés.

Récemment, plus de 60 membres de l’Ordre des ingénieurs forestiers du Québec se sont arrêtés au Parc régional de la Forêt Drummond pour des séances de formation. Celles-ci portaient sur l’identification et la délimitation des milieux humides et de la ligne des hautes eaux dans le contexte particulier de l’aménagement forestier au sud du Québec.

Le Parc régional présente une mosaïque de milieux forestiers humides et non humides ayant fait l’objet de travaux d’aménagement par le passé. Olivier Deshaies, biologiste-botaniste chargé de la formation, souligne les caractéristiques exceptionnelles du territoire. « Il s’agit d’un grand massif de milieux forestiers de 20 km2, lui-même inclus dans un massif boisé encore plus grand, de part et d’autre de la rivière Saint-François. Un tel ensemble de milieux forestiers, avec plusieurs milieux humides et hydriques et situé le long d’une rivière d’importance, est unique dans les basses-terres du Saint-Laurent. »

Pour sa part, Jean-Martin Lavoie, coordonnateur du Parc régional, y voit là une preuve additionnelle du pouvoir d’attraction de l’endroit. « Même si la Forêt Drummond était déjà connue, on constate que ses particularités et son positionnement géographique lui confèrent un potentiel qui dépasse l’aspect récréotouristique », note-t-il fièrement.

À ce chapitre, rappelons qu’un projet de recherche est actuellement en cours dans la Forêt Drummond. Mené conjointement par l’Agence Forestière des Bois-Francs, l’Université du Québec en Outaouais, les MRC de Drummond et de Bécancour, la Société sylvicole d’Arthabaska-Drummond et Aménagement forestier coopératif de Wolfe, il vise à évaluer, sur une période de 10 ans, la résistance et la résilience des peuplements forestiers aux changements climatiques.

Le biologiste-botaniste Olivier Deshaies s’adresse aux participants lors d’une des séances de formation.

Les ingénieurs forestiers qui ont pris part à la formation provenaient des quatre coins du Québec.

Jean-Martin Lavoie, coordonnateur du Parc régional de la Forêt Drummond (à droite), est accompagné d’Olivier Deshaies, biologiste-botaniste chargé de la formation.

À la suite d’un mandat en ce sens confié par le gouvernement du Québec, les municipalités régionales de comté (MRC) doivent élaborer, d’ici juin 2022, des plans régionaux des milieux humides et hydriques (PRMHH) et intégrer ceux-ci dans la planification de l’aménagement du territoire.

Au Centre-du-Québec, les MRC d’Arthabaska, de Drummond, de L’Érable et de Nicolet-Yamaska ont décidé de travailler conjointement à la réalisation de leurs PRMHH. Cela permettra notamment de cibler des objectifs communs, de partager les ressources et les connaissances, de renforcer la solidarité régionale et d’augmenter l’impact des actions qui seront mises de l’avant. La coordination de cet exercice de planification a été confiée au Conseil régional de l’environnement du Centre-du-Québec (CRECQ).

En vertu des directives gouvernementales, trois principes doivent être considérés dans la réalisation des plans régionaux des milieux humides et hydriques. Ces principes sont l’atteinte de l’objectif d’aucune perte nette, une gestion cohérente par bassin versant et la prise en compte des enjeux liés aux changements climatiques.

Forums publics

Sous le thème Ici, on s’engage pour notre patrimoine naturel, la démarche en sera une de collaboration et d’engagement de la part des acteurs concernés. Afin de partir sur des bases solides, des forums seront tenus le 19 mars au Carrefour de L’Érable de Plessisville et le 26 mars au Centre multifonctionnel de Saint-Samuel.

Bien que ces rencontres s’adressent à l’ensemble des personnes intéressées, les élus, les propriétaires riverains et de terres ainsi que les producteurs agricoles et forestiers sont tout particulièrement invités à y participer. L’inscription, qui est obligatoire, peut être faite en visitant le www.patrimoinenaturel.ca. Ce site Web fournit également toutes les informations pertinentes concernant la démarche.

La MRC de Drummond annonce la mise en œuvre d’un projet pilote pour améliorer le respect des bandes riveraines et favoriser la durabilité des travaux d’entretien des cours d’eau en territoire agricole. Dans un premier temps, cette initiative sera déployée dans les municipalités de Saint-Bonaventure et de Saint-Pie-de-Guire, là où de nombreux producteurs agricoles sont en activité.

Chaque année, le service de gestion des cours d’eau de la MRC effectue des travaux d’entretien qui consistent notamment à retirer mécaniquement des sédiments accumulés sur le lit d’un cours d’eau. Le but de ces interventions est de rétablir le bon écoulement du cours d’eau et de faciliter ainsi le drainage agricole.

Au cours des dernières années, la MRC a constaté que des cours d’eau devaient être entretenus à des intervalles plus rapprochés, en raison de certaines pratiques qui occasionnent un ensablement prématuré ainsi que l’érosion des berges.

Dans le cadre du projet pilote, les bandes riveraines réglementaires seront délimitées à l’aide de piquets de bois qui seront plantés le long des cours d’eau ayant fait l’objet d’un entretien. Ces piquets permettront aux producteurs agricoles et à leur personnel de distinguer facilement la zone qui ne doit être pas être cultivée.

Si l’expérience s’avère concluante, la MRC étendra cette pratique à tous les travaux d’entretien effectués dans ses municipalités rurales. Il est à noter que la Ville de Drummondville procède déjà de la sorte lorsque des interventions sont réalisées sur son territoire.

La bande riveraine est une lisière de végétation qui longe les cours d’eau. Elle favorise le maintien d’une certaine biodiversité en milieu agricole et contribue à filtrer les éléments fertilisants et les pesticides, en plus de stabiliser les berges et de retenir une partie des sédiments provenant des champs.

 Communiqué
pour diffusion immédiate

Lancement du plan de développement de la zone agricole de la MRC de Drummond

DRUMMONDVILLE, 18 octobre 2017 – La MRC de Drummond a tenu, aujourd’hui, une conférence de presse dans le cadre du lancement de son plan de développement de la zone agricole (PDZA).  Plus d’une cinquantaine de personnes, élus municipaux, producteurs agricoles, représentants du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ), représentants de l’Union des producteurs agricoles (UPA) et des organismes de développement du territoire ainsi que de nombreux acteurs des secteurs de l’agriculture, de la foresterie et de l’agroalimentaire étaient présents.

Cette rencontre festive s’est tenue à l’Espace Soprema de la Maison des arts Desjardins et a permis aux différents acteurs du milieu de célébrer, avec fierté, la conclusion de ce long processus d’élaboration du plan qui mettra en valeur la zone ainsi que les activités agricoles de la MRC de Drummond.

Lors de cet événement, le traiteur L’Odika avait imaginé quelques bouchées mettant en valeur plusieurs produits gourmands de la MRC de Drummond.

« L’agriculture est reconnue pour son apport majeur au développement socioéconomique de la MRC de Drummond. Producteurs, transformateurs, intervenants du milieu et citoyens travaillent ensemble à la pérennité d’une agriculture diversifiée, durable et innovante.  Il est certain que nous désirons nous positionner comme un chef de file dans le développement de notre zone agricole », a mentionné Madame Christine Labelle, directrice générale de La MRC de Drummond.

Lors de ce lancement, en plus de la présentation de la version définitive du plan qui a été adoptée par le conseil de la MRC, les premières actions, qui seront mises en place à court terme, ont été dévoilées. « L’adoption du PDZA n’est pas une fin en soi, mais une première étape importante dans le développement et la mise en valeur de notre territoire agricole et de ses activités. C’est pourquoi il est primordial d’annoncer aujourd’hui les premières actions qui seront mises en place dès la prochaine année afin de concrétiser la mise en œuvre de notre plan », a déclaré Monsieur Jean-Pierre Vallée, préfet et maire de la municipalité de Saint-Guillaume.

En collaboration avec les autres MRC du Centre-du-Québec, la MRC de Drummond adhérera à l’Arterre qui propose un service d’accompagnement et de maillage visant à contribuer à la vitalité des communautés par un dynamisme agricole axé sur l’établissement de la relève non apparentée ou œuvrant en dehors du cadre familial plus traditionnel.  En plus de mettre en place un comité de suivi, la MRC de Drummond procèdera aussi, dès 2018, à l’embauche d’une ressource dédiée à son PDZA afin d’en assurer la mise en œuvre.

« Depuis juin 2016, tous les acteurs du territoire ont su se mobiliser afin de définir des enjeux, des orientations, des objectifs et des actions concrètes qui seront mises en œuvre pour valoriser notre zone et nos activités agricoles. Nous savons que notre territoire agricole déborde de potentiel et nous sommes vraiment fiers du travail de collaboration qui a été accompli ainsi que du maillage qui s’est créé entre les différents intervenants de notre milieu.  Je souhaite que cette entraide se poursuive dans les années à venir afin de continuer à répondre aux différents enjeux qui nous touchent », a exprimé, avec fierté, Monsieur Jean-Pierre Vallée.

Soulignons que l’élaboration du PDZA de la MRC de Drummond a été rendue possible grâce au soutien financier du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, en vertu de l’entente Canada-Québec Cultivons l’avenir 2.

Réjean Prince, directeur régional par intérim, régions du Centre-du-Québec et de la Mauricie du MAPAQ, Jean-Pierre Vallée, préfet de la MRC de Drummond et maire de Saint-Guillaume, Christine Labelle, directrice générale de la MRC de Drummond, Valérie Carrère, coordonnatrice à l’aménagement de la MRC de Drummond, Pierre Jutras, conseiller en aménagement du territoire et développement rural au MAPAQ, Marco Richard, représentant du syndicat de secteur de Drummond-Sud de l’UPA, Patricia Brügger, présidente du syndicat de secteur de Drummond-Sud de l’UPA, ainsi que Yves Grondin, conseiller et maire suppléant de la ville de Drummondville, étaient fiers de dévoiler les premières actions relatives au PDZA de la MRC de Drummond.
 
À propos du PDZA de la MRC de Drummond

Le PDZA est un document de planification qui vise à mettre en valeur la zone agricole de la MRC en favorisant le développement durable des activités agricoles.  Ce plan peut notamment contribuer au développement de l’agriculture et des activités connexes tout en améliorant la qualité de vie dans les collectivités concernées. Pour de plus amples renseignements, visitez le site de la MRC de Drummond à https://www.mrcdrummond.qc.ca/gestion-du-territoire/plan-de-developpement-de-la-zone-agricole/

Information :   

Jean-Pierre Vallée

Préfet

MRC de Drummond

819 396-2305

 

Valérie Carrère

Coordonnatrice à l’aménagement

MRC de Drummond

819 477-2230, poste 112

 

Source :  

Marie-Pierre Beaulieu-Savard

Conseillère en communication

MRC de Drummond

819 477-2230, poste 101

La MRC de Drummond est fière d’annoncer l’entrée en vigueur de son schéma d’aménagement et de développement révisé (SADR). Adopté par le conseil de la MRC le 12 avril 2017, le document a reçu son attestation de conformité aux orientations gouvernementales le 25 juillet dernier.

« Le schéma d’aménagement et de développement constitue un outil essentiel de planification. Il établit les lignes directrices de l’organisation physique du territoire et reflète les engagements et les intentions de la MRC en matière d’aménagement et de développement de son territoire. Sur la base d’une vision régionale, ce document identifie des enjeux importants et des particularités territoriales qui permettent de déterminer de grandes orientations. Il assure la conciliation entre les attentes gouvernementales et municipales en matière d’aménagement, de développement et d’urbanisme », précise le préfet de la MRC et maire de Saint-Guillaume, monsieur Jean-Pierre Vallée.

L’élaboration d’un schéma d’aménagement représentait le mandat principal confié aux municipalités régionales de comté lors de leur création au début des années 1980. La MRC de Drummond a adopté son premier schéma en 1988 et celui-ci a fait l’objet de nombreuses modifications au fil des ans. C’est dorénavant la version révisée qui s’applique, à la suite de son approbation par le gouvernement du Québec.

Dans une correspondance adressée à la MRC, le sous-ministre des Affaires municipales et de l’Occupation du territoire, monsieur Marc Croteau, salue le travail accompli par la MRC dans le cadre de cet exercice de révision. « Les efforts déployés et la démarche de concertation effectuée par votre municipalité régionale de comté ont permis de bonifier le contenu du schéma d’aménagement et de développement ainsi que de jeter les bases d’une collaboration fructueuse avec les différents ministères et organismes gouvernementaux concernés par l’aménagement du territoire », indique-t-il.

Diverses thématiques sont abordées dans le SADR, telles que la protection du territoire et des activités agricoles, la gestion de l’urbanisation, les contraintes à l’occupation du sol, les territoires d’intérêt, le transport ainsi que les équipements et infrastructures. Le document vise, entre autres, à établir le contenu minimal à introduire dans les plans et règlements d’urbanisme des municipalités locales afin de respecter une vision régionale commune. Il est à noter que, selon les dispositions de la Loi sur l’aménagement et l’urbanisme, les municipalités disposent de deux ans pour adapter leur réglementation à cet égard et assurer ainsi la conformité de celle-ci aux orientations du schéma révisé.

Le président du comité d’aménagement de la MRC et maire de Drummondville, monsieur Alexandre Cusson, se réjouit de l’entrée en vigueur du SADR. « Cette réussite repose sur l’engagement et la concertation des acteurs impliqués. J’en profite pour remercier toutes les personnes ayant participé d’une façon ou d’une autre à cette démarche, notamment les membres du comité d’aménagement et du comité consultatif agricole, mes collègues du conseil de la MRC, les élus et les fonctionnaires municipaux, les représentants de différents ministères et organismes de même que l’équipe de la MRC qui a su coordonner les travaux de révision », mentionne monsieur Cusson.

Le contenu intégral du schéma d’aménagement et de développement est accessible depuis le www.mrcdrummond.qc.ca/schema.